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Quand on crée une campagne emailing, qu’on passe du temps à travailler le contenu, la mise en forme, la landing page, on a envie que celle-ci fonctionne bien, qu’elle suscite l’intérêt des destinataires et que ceux-ci effectuent l’action qu’on attend d’eux.
Il faut donc mettre toutes les chances de votre côté pour inciter, dans un premier temps, les destinataires de votre campagne emailing à ouvrir votre message.
Comme vous le savez, choisir avec soin l’objet de sa campagne est primordial. Mais pensez-vous à soigner votre pré-header ? Ou êtes-vous comme de nombreux marketeurs à ne pas y prêter attention et à le laisser se remplir automatiquement ?
Pourquoi ne pas tirer parti de TOUTES les opportunités qui s’offrent à vous pour maximiser les chances de réussite de votre campagne ?
Nous allons vous expliquer les raisons pour lesquelles il ne faut pas négliger son pré-header et comment l’optimiser.
Si vous ne savez pas ce qu’est le pré-header, il s’agit de la ligne de texte qui vient à côté ou en dessous de l’objet d’un email dans la boîte de réception du destinataire. Il donne un aperçu du contenu de l’email. Dans l’email, il se situe en haut du message, dans son en-tête.
La taille d’affichage du pré-header varie en fonction de la messagerie des destinataires et du support utilisé pour consulter ses emails (ordinateurs, smartphones, tablettes).
Puisqu’il est visible à côté de l’objet de votre message, il est un atout supplémentaire pour inciter vos destinataires à ouvrir votre message.
Il donne un aperçu du contenu de votre message et va compléter et renforcer l’objet.
Soigner votre pré-header aura donc un impact direct sur le taux d’ouverture de votre emailing et par conséquent pourra influencer le taux de clics.
Il faut garder à l’esprit que les destinataires de nos campagnes reçoivent de nombreux messages chaque jour. Pourquoi ne pas profiter de cet espace supplémentaire pour faire la différence ?
S’il n’est pas optimisé, le pré-header sera renseigné automatiquement et reprendra les premières lignes du contenu de votre email. Et c’est quand même dommage de voir afficher « si ce message ne s’affiche pas correctement, cliquez ici », comme c’est souvent le cas parce que le contenu des emails débute par la mention de la page miroir.
Comme pour l’objet de votre email, vous avez peu de caractères pour convaincre.
La longueur du pré-header varie en fonction de la messagerie utilisée par vos destinataires et il faut compter en moyenne 35 caractères affichés. Si vous allez au-delà de ce nombre, votre phrase risque d’être tronquée. Vous devez donc placer les éléments les plus importants au début.
Pour attirer le destinataire, le pré-header doit être une suite logique de votre objet qui doit encourager à l’ouverture et donner envie d’en savoir plus.
Utiliser la personnalisation dans le pré-header peut aussi être un bon point pour attirer l’œil.
Tout en apportant une touche humaine, le destinataire se sentira tout de suite concerné, même avant d’avoir ouvert le message.
Par exemple :
Objet : Comment optimiser votre pré-header
Pré-header : Martin, boostez vos emailings !
Inciter à l’action peut aussi permettre de vous démarquer. En créant un sentiment d’urgence, en affichant une promesse, une offre à saisir, une nouveauté à découvrir, vous ne laisserez pas vos destinataires indifférents et leur donnerez envie d’en savoir plus !
Pour le modifier, il suffit de le placer juste avant le lien de mention de la page miroir. Il doit être le 1er contenu visible à l’ouverture de l’email.
Comme vous le savez, le challenge des professionnels du Marketing qui conçoivent des campagnes Emailing est de tirer parti de toutes les options et ressources possibles pour se démarquer de la concurrence et attirer les destinataires.
Alors gardez à l’esprit que le pré-header et l’objet vont de pair, qu’ils se complètent et qu’ils peuvent améliorer vos taux d’ouverture. Alors ne manquez pas cette occasion de booster vos performances !